le salon et la salle à manger

il s'installa près de Nanou sur le canapé et l'embrassa.

Comment vas tu mon ange tu as pas l'air très en forme que ce passe t'il?

Il lui sourit, comme pour la reconforté.

Tu sais mon ange je sais que ta mission dans la vie est de sauver l'humanité mais meme les super heros on besoin de repos parfois.
Nky rit

si tu as besoin de moi je suis la pour toi, n'hesite pas, puis si une mission ne vient pas rapidement et que tu le desir nous pouvons partir en voyage juste toi et moi

Nky regarda Nanou avec toute la tendresse qu'il etait capable de donner

il la regarda sourire, cela faisait rayonner son visage.

Cela fait partie de toi mon ange et ca doit faire aprtie de ce coté que j'aime chez toi.

Il rit

https://www.youtube.com/watch?v=TC49Fd-a7D8

Départ ce soir pour Sancerre. Enfin!

Nanou était passé avant son départ aérer la maison d'Nky, comme elle le lui avait promis, histoire qu'il trouve une maison fraiche en rentrant.
Elle avait croisé la veille Winnette en taverne qui nourrissait l'espoir de reprendre sa relation avec lui. Elle disait vouloir se battre pour ça.
Nanou avait sourit, estimant que l'on ne force pas quelqu'un à offrir son coeur. Lorsque Nky sortirai de retraite, il verrait bien ce à quoi son coeur aspirait.
Carpe diem, comme il aimait à dire!
Nanou sourit à cette évocation, et se prépara pour son voyage vers David.

A son retour, elle serai là, s'il désirait sa présence.

Il prit les verres, puis les apportas près d'elle. Il déposa un baiser sur ses lèvres avant de prendre la bouteille pour la déboucher.
Puis il versa le nectar dans les verres.

A toi l'honneur mon ange je te laisse gouter c'est toi l'experte non, enfin experte l'alcoolique devrais je dire!!!

Il ce plongea dans son regard un large sourire au lèvre, un sourire béa, il savait qu'ils revenaient tout deux de loin, et qu'il ne pouvaient vivre sans elle, qu'elle était le remède sa vie, son ilot perdu.

Se coulant dans ses bras, son verre à la main, elle trinqua avec Nky, ses yeux dans les siens puis huma le vin avant de savourer ce délicieux breuvage.

Le fruité en est succulent mon coeur, mais pas aussi exquis qu'ainsi dégusté!

Elle lui lança un regard coquin, et l'embrassa langoureusement.

Tous les rêves que tu m'offres avec tes projets démentiels, sont autant de bouts de bonheur dans ma tête et mon coeur.

Tu es un homme exceptionnel, mon amour!

Elle posa son verre vide au sol et passa ses bras autour de son cou, amoureusement.

Elle sourit largement à son murmure; encore un p'tit bout de bonheur qui passait par là!

Elle se plaça derriére lui, l'entourant de ses genoux et ses bras, et déposa un baiser sur sa nuque.

J'ai commencé à écrire l'histoire dont je t'avais parlé, et vu que tu avais envie de l'entendre, je t'en confies le tout début, en tant que juge impartial et objectif!

Elle rit puis commencé à conter à son oreille.


C’était une fin de journée dans laquelle on pouvait entendre le vent hurler.
Le ciel noir commençait à se zébrer d’éclairs fulgurants, et les vagues atteignant plusieurs mètres de hauteur balayaient le pont sans répit.

L’homme courait le long de la rambarde, tentant d’abaisser les voiles et d’arrimer ce qui ne l’était pas encore, sans glisser par-dessus bord.

Cette tempête les avait pris par surprise tandis qu’ils cherchaient à échapper aux pirates. Ceux-ci les poursuivaient depuis plus de deux jours dans ce coin de mer tout au sud de l’Espagne.

Elle sourit et fit une pause tout en observant sa réaction.

Nanou sourit de sa remarque, heureuse que son histoire lui plaise, et s'abreuva à ses lévres avant de continuer.

Merci mon coeur de ton intérét.

Elle poursuivit à nouveau à voie basse:


Enfin, le bateau fut paré au mieux pour affronter le déchainement des éléments, et Richard s’encorda au mat principal fouillant la mer des yeux.
Au moins, le temps les protégerait un moment le petiot et lui de leurs poursuivants. Le rafiot, lui, montait et descendait violemment au rythme des vagues.

L’enfant blondinet était à l’abri dans le fond du navire.
La bravoure dont il faisait preuve la plupart du temps, avait intrigué Richard dés leur première rencontre.
Il sourit en se remémorant sa découverte inopinée dans la cale au bout de trois jours de navigation.
Il n’avait pas flanché, pas baissé le regard ; non.
Il s’était levé, attrapant sa besace et s’était proposé pour être moussaillon comme si sa présence était des plus normales. Richard avait éclaté de rire, et l’avait accepté sans lui laissé voir qu’il avait remarqué comme ses mains tremblées.
Pas de doute, il avait du caractère et ça lui plaisait.
Il lui avait ébouriffé les cheveux et lui avait offert un repas chaud.


Une nouvelle pause, et un nouveau coup d'oeil à celui qui comptait tant pour elle.

Elle adorait les étoiles qu'elle voyait briller dans son regard. ça valait tous les cours d'astronomie du monde...

Elle lui sourit du plus profond de son coeur et reprit:

Cette scène s’était déroulée il y avait déjà 3 semaines et le drôle avait appris vite.
Il s’était entrainé des heures durant à faire des nœuds de marin, il frottait le pont matin et soir, et n’avait pas son pareil pour ramener un bar au bout de sa ligne.
Les parents du gamin, rappelés vers Aristote depuis belle lune, auraient sans aucun doute été fiers de sa persévérance et de sa dextérité.
Le pauvre môme s’était plutôt bien débrouillé pour survivre, détroussant à droite, à gauche, travaillant de temps à autre, et voyageant quand l’envie lui en prenait.
Son allure de va nu pieds le protégeait des brigands qui avaient tôt fait de repérer son ventre plutôt creux et le peu de valeurs de sa besace.

Malgré son jeune âge, le p’tit Roby avait trainé sa bosse, et la mer l’attirait de plus en plus.
C’est ainsi qu’en observant les navires sur le port et leur capitaine respectifs, il décida de s’embarquer clandestinement sur celui de Richard.

Posant un baiser sur les lèvres de son tendre, elle ajouta:

Je crois qu'il serait temps d'aller dormir mon coeur.
La suite demain!

Elle le regardait avec des yeux emplit d'amour.
Son regard la chavirait toujours autant voir plus.
Vraiment Nky avait un charisme qui l'envoutait, et lui faisait oublier tout ce qui l'entourait.

Tout en écoutant sa question, elle esquissa un sourire malicieux.

P'têtre si t'es sage, ou pas, mon coeur!

Elle rit de bon coeur avec lui, et se laissa guider par l'homme qu'elle aimait.

En entrant dans la pièce, elle aperçut un magnifique livre relié de cuir, et lacha la main de Nky pour y jeter un coup d'oeil.

A la lecture du parchemin déposé à coté, elle ne pu contenir son émotion.

Mon coeur!
Oh, merci!
Il est magnifique, vraiment, ça me touche énormément!

Tout en pronançant ses mots, elle caressait la couverture du livre, en feuilletait les pages encore vierges, se l'appropriant déjà.

Elle rejoignit enfin l'homme qui savait si bien toucher son coeur et l'embrassa tendrement.

Ce présent vaut bien que je te conte la fin de l'histoire, mon amour.

Elle s'assit à même le sol sur le tapis et prenant une bonne goulée de vin et une grande inspiration, attaqua la narration.



Richard se leva tôt et trouva la tavernière déjà debout, entrain de ranimer le feu, et d’y mettre chauffer un chaudron d’eau pour la tisane.

-Je crois que vous avez trouvé un aide pour votre auberge si votre proposition à son égard tient toujours ; il vous le confirmera lui-même à son réveil d’ailleurs.
-Et vous ? Vous ne voulez pas rester, n’est ce pas ?
-Non, en effet ; Je vais reprendre la mer dés aujourd’hui. Encore quelques achats à faire sur le marché pour renouveler mon stock de nourriture et je mets les voiles plus au nord.

Roby du haut de l’escalier sentit son cœur se serrer à ces mots.

Comment être sur qu’il prenait la bonne décision ? Comment laisser partir seul cet homme qui avait été si bon avec lui ?
Il respira profondément et se frotta un peu les yeux avant d’entrer dans la pièce principale.
Richard perçu les doutes qui l’habitaient, et lui sourit tout en ébouriffant ses cheveux.

-Aller ; dépêches toi d’avaler ce verre de lait, et on va faire un tour au marché.
-D’accord Richard, répondit l’enfant d’une voix qui manquait d’enthousiasme.

Richard l’observait tout en avalant la tisane que la tavernière avait servit en même temps que le lait.

Celui qu’il appelait le môme avait grandit en deux mois ; Ses épaules s’étaient développées, sa voix avait commencé à muer, et même quelques poils ornaient son menton. Sa vie ne devait pas se limiter à un bateau ; Il aimait la compagnie et devait pouvoir en profiter. Richard devait faire son possible pour que le choix de Roby soit simple ; il ne devait pas penser que leur séparation lui causait de la peine.

Dés que les tasses furent vides, ils partirent de concert vers le marché. Les achats furent rapides : des fruits et des légumes frais, un peu de viande, et un couple de poules avec du grain. Richard s’était bien habitué à avoir des œufs.

Ils se dirigeaient vers la nave, lorsqu’ils croisèrent Suzanne. De suite, le visage de Roby s’illumina, et il l’invita même à venir visiter le navire.
Richard sourit de les voir ensemble grimper dans le nid de pie, et plaça pendant ce temps ses achats dans la calle. Il regroupa ensuite les affaires de Roby dans une besace qu’il chargea sur son épaule.

-Ohé ! On repart vers l’auberge ?
-Oui, oui, messire, on arrive.

Ils dégringolèrent d’un même mouvement des voilures.

Sur le chemin du retour, ils plaisantaient l’un avec l’autre, Suzanne expliquant à Roby en quoi consisterait son travail à l’auberge et riant de l’imaginer le balais à la main. C’est qu’elle ne l’avait jamais vu astiquant le pont avec ferveur.

Arrivé à l’auberge, Richard déposa la besace de Roby et voulu payer la tavernière qui referma sa main sur ses écus, en lui soufflant :

-Je crois que vous m’avez déjà payé beaucoup plus que vous me deviez tout en lui souriant.
-Prenez soin de lui, c’est tout ce dont il a besoin, lui répondit il sur le même ton.

Il salua ensuite Suzanne et serra une dernière fois Roby dans ses bras.

-Que le vent soit ton guide, le respect des autres une valeur sure, et que ta vie soit un cadeau quotidien du soleil qui se lève. C’est le secret du bonheur, mais chuttt !
-Merci pour tout Richard, furent les seuls mots que Roby put prononcer.

Il lui fit un grand sourire et parti sans se retourner, le vent l’appelait…



https://www.youtube.com/watch?v=0xKMcwQDHZQ&feature=related

Nky regarda Nanou ce diriger vers le livre, puis il sourit en de voir que ce présent lui faisait si plaisir. Il continua de la regarder pendant qu'elle ouvrai le livre, la joie pouvait ce lire les yeux de Nanou et de Nky.
Il profita de ce baiser puis le prolonga un peu plus longtemps.

JE suis heureux qu'il te plaise mon ange, le choix du cadeau n'aura pas était facile, lui dit il en souriant.

il s'allongea la tête sur les jambes de Nanou pour écouter la fin de cette si belle histoire qu'elle avait écrite.
Il l'écouta bien sagement, son imagination imaginant chaque endroit d'écrit par son ange. il la regarda les yeux grands ouverts. Puis il l'écouta chantonner. Une fois fini sans ce redresser il lui sourit.

hmmm j'aime beaucoup ce que dit Richard a Roby mon ange tu sais juste avant de partir, je trouve cela très vrai! Je crois que tu as un don pour les histoires mon ange

La soirée avait été trés agréable.

Suite à la fin de l'histoire, ils avaient échangé des plaisanteries sur leur futur navire qu'ils auraient p'têtre dans 10 ans tout en trinquant à l'aide du vin si délicieux.
Puis la nuit les avait bordé de sa douce couverture de tendresse, enlacés l'un dans les bras de l'autre, là, juste devant la cheminée.
Nky était sa bouffée d'oxygène et Nanou était toujours au comble du bonheur dés qu'il était à ses cotés.

A son réveil, il avait disparu, et un porcelet trainait dans le salon, reniflant à droite à gauche.

Rhooooo! Il a osé!

Nanou éclata de rire et prépara une auge de maïs écrasé mélangé à de l'eau pour la bestiole.

Ben, si tu loges là, toi, va falloir que je te trouves un nom.

Elle alla se préparer une tisane pour se remettre du léger excés de vin de la veille, puis s'assit tout en reprenant le livre.
Elle en défit la sangle qui le maintenait fermé, et trempant sa plume dans l'encre commença à en noircir les pages.